Open Air Gampel 2016

L’évènement le plus célèbre du Haut-Valais est de retour pour sa 31ème édition. Cette année encore, l’Open Air de Gampel n’a pas manqué à son fameux slogan: Iischi Party!

© Virginie Maret

© Virginie Maret

 

Jeudi 18 août

En ce premier jour de festivités, c’est dans sa formation quasi-initiale que Sum 41 a mis le feu au public haut-valaisan. Emmené par son leader Deryck Whibley, le groupe canadien dégageait une énergie folle et a beaucoup interagi avec son public. Le retour de Dave Baksh à la guitare n’est sans doute pas étranger à l’engouement du public.

De gauche à droite: Deryck Whibley, Jason McCaslin et Dave Baksh © Virginie Maret

 

Quelques fans chanceux sont montés sur scène pour assister au concert d’une perspective peu habituelle. Ca a sauté et crié dans tous les sens. L’époque difficile de Deryck et son addiction à l’alcool – le chanteur a frôlé la mort en 2014 – semble décidément loin derrière ! Pour preuve, leur concert est celui qui a rassemblé le plus de monde devant la grande scène de Gampel.

La légende Noel Gallagher a, quant à lui, peiné à remplir le public avec son groupe Noel Gallagher’s High Flying Birds. La formation britannique a offert une prestation sympatique en reprenant notamment Wonderwall. Toutefois, on est resté sur notre faim puisque le groupe a terminé sa dernière chanson et filé sans un mot. On a même pu entendre un « Gallagher, escroc! » de déception. Les écossais de Biffy Clyro et les allemands de K.I.Z se sont chargés de faire oublier cette petite fausse note.

DSC_0106

Noel Gallagher’s High Flying Birds © Virginie Maret

 

Vendredi 19 août

La deuxième journée de l’open air était placée sour le signe du rock et du metalcore! Les groupes Asking Alexandria, Clutch, Thrice, Eagles of Death Metal et Parkway Drive se sont succédés pour faire pogoter le public. Les metalleux ont fait du crowdsurfing et la bière a coulé à flot !

@ Virginie Maret

@ Virginie Maret

 

En deuxième partie de soirée, le DJ aux tubes planétaires Robin Schulz n’était pas là pour calmer l’atmosphère. Ses remix de Waves et Prayer in C ont fait vibrer la foule. C’est finalement le DJ Sigma qui était chargé de faire danser les festivaliers jusqu’au bout de la nuit.

Bonus: on a trouvé le sosie de Cyril Hanouna qui mixait sous une tente:

IMG_4627

© Virginie Maret

 

Samedi 20 août

Samedi pluvieux, samedi heureux! Malgré l’absence de Sophie Hunger et les averses intermittentes, le public de Gampel est resté solide et ne s’est pas découragé si facilement. Il était bien présent pour applaudir les allemands de Sportfreunde Stiller et les cow-boys de The BossHoss.

The BossHoss © Virginie Maret

The BossHoss © Virginie Maret

 

La soirée a ensuite été marquée par un évènement de taille. Le changement du logo du festival – transformé d’un chamois à un loup – avait fait polémique auprès des supporters valaisans. L’équipe du Gampel a donc choisi un retour au source et a fait tomber les banderoles à l’effigie du prédateur pour dévoiler son célèbre chamois. Tout ça au rythme de l’hymne du festival Iischi Party sous les applaudissements du public.

Après l’effervescence, l’attente… Suite à un problème technique, Parov Stelar et ses musiciens sont arrivés sur scène avec 30 minutes de retard. Problème vite pardonné puisque l’electroswing de Parov Stelar a ensorcelé les festivaliers dès les premières notes. Ca nous a rappelé nos fameuses soirées Unimix à Fri-Son !

 

Dimanche 21 août

L’Open Air s’est terminé avec les concerts de 77 Bombay Street, Bastian Baker et G-Eazy. Au bilan de cette 31ème édition de l’Open Air Gampel, des prestations mémorables comme celles de Sum 41, Biffy Clyro, Robin Schul ou Parov Stelar. Au total, le festival a accueilli quelques 104’100 visiteurs.

Si l’open air comptabilise de nombreux bons points au niveau de la programmation et de la sécurité, il n’en va malheureusement pas de même pour la propreté. Malgré ses nombreuses poubelles, le festival est l’un des plus sales auquel nous soyons allés. La faute à un public nombreux et pas toujours respectueux. Reste à voir si la prochaine édition saura corriger le tir…

VM et MF

Une révérence qui tire droit au cœur

Un homme, une révérence, un frisson…

(suite…)

Animale, la bestialité et le traumatisme.

La Camargue et ses courses de taureaux, un soleil abrasif qui fait coller la peau, du sang qui gicle sur les habits et la bave qui coule, savonneuse et bouillante sur le museau de bêtes enragées, voilà l’atmosphère du film « Animale » de Emma Benestan qui est présenté dans la compétition internationale du NiFFF 2024.

(suite…)

She loved blossoms more, le rêve éveillé

Direction la séance presse du NIFFF 2024. Ce film connaissait, de ce j’avais entendu, des avis divergents. Un synopsis intrigant avait de quoi me séduire. C’est ainsi que de bonne heure j’ai découvert ce film.

(suite…)

Voltige survoltée ! Animal

J’ai enfin ris au théâtre cette saison ! Et je retrouve le bonheur grâce à eux ! Merci !

(suite…)

Excalibur – L’épée de la destinée

Un cinéma ? Non. Un théatre? Non plus. Un théâtre cinéma ? Oui !

(suite…)